Le travail de Jean-Baptiste Perret m’invite à écrire comme l’on fait une cueillette de mots. Il y a ceux que je consomme (le millepertuis), ceux que j’affectionne (le jeu et
Mes yeux n’avaient a priori aucune propension à s’attarder sur le travail de Camille Juthier. Les couleurs fluos m’ont, à vrai dire, toujours débectées. Elles gueulent trop fort. Leur goulot