Hippolyte Hentgen à la galerie Semiose
Le travail de Mounir Ayache se déploie singulièrement dans le temps et l’espace. Il brouille les frontières des médiums et des disciplines et interpelle notre œil tout autant que nos
« J’ai eu envie de m’intéresser aux banques d’images au moment où, aux États-Unis, j’ai vu le visage d’un enfant sur un paquet de céréales reproduit à l’identique sur une
A première vue, un visage esquissé de larges touches de couleur. La peinture semble appliquée par empâtements, pour un résultat de l’ordre de l’esquisse, du croquis. Chris Dorosz, artiste canadien
« Bien loin, en effet de nous remplacer, les robots et autres machines autonomes nous obligent à comprendre notre condition et à l’élargir encore. Ils nous forcent à nous représenter
« Tout est autobiographique, et tout est un portrait, même si ce n’est qu’une chaise. »[1] Que souhaitait exprimer Lucian Freud par cette affirmation ? Autobiographique… Portrait… Pourquoi n’a-t-il pas
Le sexe féminin, l’abricot, le con, le minou a tant de sobriquets prêtant à sourire et si peu de représentations visuelles qu’il reste unanimement méconnu, mystérieux, occulte. En partant de ce constat, Thomas Huber a souhaité libérer cette partie intime de son carcan. Son exposition Extase présentée actuellement au Centre culturel suisse dévoile dessins, aquarelles et peintures murales réalisés in situ où le sexe féminin s’autonomise en entité indépendante, se dissocie du corps, pour incarner la matière première de constructions architecturales paraboliques.