Hippolyte Hentgen à la 3e personne

Hippolyte Hentgen à la galerie Semiose

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Mounir Ayache, sur les traces d’Averroès

Le travail de Mounir Ayache se déploie singulièrement dans le temps et l’espace. Il brouille les frontières des médiums et des disciplines et interpelle notre œil tout autant que nos

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Le cogito de Clément Cogitore

« J’ai eu envie de m’intéresser aux banques d’images au moment où, aux États-Unis, j’ai vu le visage d’un enfant sur un paquet de céréales reproduit à l’identique sur une

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Père Mérelle, raconte-nous une histoire !

Portrait 2018 de l'artiste français Fabien Mérelle

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Ma Desheng, l’être de pierre au cœur sensible

Dans notre vie, nous avons tous besoin de personnes inspirantes, d’exemples positifs, de porteurs d’idéal. Symboles de courage et de bienveillance, d’audace et de sacrifice, de bravoure et d’humilité, d’intelligence

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Le chef-d’œuvre est-il mort avec l’art contemporain ?

Qu'ont en commun Le Baiser de Gustav Klimt, Le Cri d’Edvard Munch, le David de Michel-Ange, La Danse d’Henri Matisse, La Jeune Fille à la perle de Johannes Vermeer et, bien évidemment, La Joconde de Léonard de Vinci ?

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Surprendre la vie de la matière avec Chris Dorosz

A première vue, un visage esquissé de larges touches de couleur. La peinture semble appliquée par empâtements, pour un résultat de l’ordre de l’esquisse, du croquis. Chris Dorosz, artiste canadien

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De l’évolution de l’art contemporain

« Bien loin, en effet de nous remplacer, les robots et autres machines autonomes nous obligent à comprendre notre condition et à l’élargir encore. Ils nous forcent à nous représenter

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Valentine Victor-Pujebet, portraitiste existentialiste

« Tout est autobiographique, et tout est un portrait, même si ce n’est qu’une chaise. »[1] Que souhaitait exprimer Lucian Freud par cette affirmation ? Autobiographique… Portrait… Pourquoi n’a-t-il pas

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L’Eros selon Thomas Huber

Le sexe féminin, l’abricot, le con, le minou a tant de sobriquets prêtant à sourire et si peu de représentations visuelles qu’il reste unanimement méconnu, mystérieux, occulte. En partant de ce constat, Thomas Huber a souhaité libérer cette partie intime de son carcan. Son exposition Extase présentée actuellement au Centre culturel suisse dévoile dessins, aquarelles et peintures murales réalisés in situ où le sexe féminin s’autonomise en entité indépendante, se dissocie du corps, pour incarner la matière première de constructions architecturales paraboliques.

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