« Je me vis dans la glace !… Mon image n’était pas dedans… et j’étais en face moi ! (…) Puis voilà que tout à coup je commençais à m’apercevoir dans une brume,
S’il est des choses que l’on peut a priori partager sans difficulté, le souvenir est sans doute le plus évident. Morcelable à souhait, gratuit et exprimable sur une large temporalité,
Sans doute connaissons-nous tous les autoroutes de l’Hexagone : les péages, les sandwichs triangles et autres embouteillages sont autant de mythologies qui animent chacun de nos départs en vacances, chacun
Une poitrine brisée, du lierre pixélisé, un corps amputé échoué derrière un parasol absent ou encore un renard empaillé vêtu de sa proie. Si habituellement nous déambulons dans l’espace d’exposition
La Sainte-Chapelle de Vincennes est hantée par une curieuse foule de femmes depuis le 9 février. Ou plutôt par leurs portraits. Car toutes ces femmes sont détenues – quelque part en France – et seule leur image
Samedi 3 février je participais à une journée d’étude à l’INHA, organisée par le master “l’art contemporain et son exposition” de l’Université Paris-Sorbonne, et intitulée “L’artiste et le commissaire”.
Un canapé en tissu capitonné, une bibliothèque en chêne massif, en somme un mobilier Roche Bobois qui participe à l’imitation d’un intérieur de collectionneur par lequel il était nécessaire
Né en 1987 à Séoul, Hoh Woojung livre dans ses œuvres un témoignage critique autant que mystérieux de sa Corée du Sud natale. Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-arts
« Touche Critique # » aspire à décrire avec audace et naïveté ce que nous avons le droit d’interroger dans l’art contemporain en ayant l’espoir d’en tirer un peu de hauteur.