par Katherine Perzant Trois femmes aux cheveux très noirs regardent droit devant elles, mais elles doivent voir très peu, car trois allumettes qui sont trois ailes de corbeaux, taillées
Edgar Ariel Nous sommes rue Saint Gilles, dans le troisième arrondissement de Paris. Paz Corona tient une bouteille d’eau dans ses mains et me regarde arriver à son exposition à
Edgar Ariel Le 14 avril 1921, à 15h de l’après-midi, André Breton et quelques autres dadaïstes se donnent rendez-vous devant l’église Saint-Julien-le-Pauvre à Paris. Ils ne sont pas venus là
On a toujours une impression de fragilité avec le verre. Peut-être parce que c’est la matérialisation d’un souffle et que l’on sait tout ce qu’un souffle a de cassant. Une
« Je suis l’archive ». C’est cette assertion qui donne éloquemment son titre à l’exposition d’Euridice Zaituna Kala à la Villa Vassilieff. Proclamer « Je suis l’archive » c’est exposer
– Caroline Dejoie & Patrycja Toczek – TW : viol, violences misogynes, infanticide, cannibalisme, regard masculin (le mien aussi). Il m’est impossible de commencer, de parler vraiment, de
Au sol, face contre terre, elle s’est effondrée, Résignée. La lutte a été rude, Angoissée, Angoissante, Un corps mis à mal, Un esprit bouleversé. Il y avait quelque chose
[Fragment, n.m. : 1. Morceau d’une chose qui a été cassée, brisée. 2. Partie d’une œuvre dont l’essentiel a été perdu ou n’a pas été composé. Partie extraite d’une œuvre
Je ne voulais pas écrire de texte sur ton travail Abel, je voulais simplement retranscrire l’échange que nous avons eu hier, dans ton atelier, et le publier tel quel. Ce