Il fait sourire ce fond d’écran. Dans le ciel, au-dessus d’une chaîne de montagnes, flotte cette phrase que l’on a peut-être déjà lue quelque part : « Le cœur ne ment pas ».
Comment allier mémoire collective et individualité ? Quelle(s) identité(s) révèle ce corps humain qu’Ana Mendieta met en scène ? Quelle est la portée des traces que nous laissons sur le sol